Des êtres de dépendances
Dès la naissances nous sommes dépendants de ce que nous mettons à la bouche, ce besoin est incontournable, c'est de la survie.
Tout d’abord le réflexe de succion pour les bébés, puis le petit enfant qui met à la bouche tout ce qu'il touche et l'ado qui ronge ses ongles,
mâche ses bouchons de stylos ou grignote toute la journée.
A l'age adulte on peu avoir envie de retrouver
la sécurité de mettre quelque chose à la bouche : cigarette, bonbons …
Recherche d'habitudes et de sécurité
On peu aussi avoir envie de répéter quelque chose pour se donner des repères dans la journée, c'est sécurisant : « c'est l'heure de ma cigarette ».
La cigarette deviens souvent une récompense : « je fais ça et après je fume » ; ou une impression de se donner un temps à soi :
« je me pose cinq minutes, juste le temps d'une cigarette » ; ou bien on succombe aux habitudes : téléphone, voiture, café...
Tout ces mécanismes passent
par le cerveau
Ce cerveau
« évolué » des êtres humains est généralement divisé en trois grandes parties : le cerveau reptilien, le cerveau affectif ou lymbique et le cerveau des pensées.
Le cerveau reptilien aime les habitudes, les choses doivent rester les mêmes jour après jour, chaque changement est un risque pour la sécurité
voire même pour la survie. Pour lui, le fait d’arrêter de fumer est un danger de mort.
Le cerveau
affectif peut être d'une grande aide quand on veux arrêter de fumer car il se base sur les émotions. Certaines personnes pourront trouver des motivations suffisamment fortes comme par exemple pour leurs enfants, pour leur conjoint,
ou encore, et c'est le plus probable,
POUR REALISER UN REVE OU POUR UNE PASSION.
Il fait le lien entre les deux autres et surtout, il a assez de poids pour discuter avec le crocodile.
Le cerveau des pensées lui à bien compris que c'est un suicide à petit feu que de continuer à fumer, c'est de lui dont on
parle quand on dit qu'il faut avoir de la volonté. Seulement il ne peut pas commander aux deux autres qui sont beaucoup plus anciens. Seuls une petite catégorie de personnes pourront arrêter de fumer par la seule volonté. C'est
en général des personnes peu émotives et peu sensibles qui la plupart du temps ne sont pas tentées par la cigarette dans un premier temps.
La volonté n'a rien à
voir dans le processus d’arrêter de fumer. Essayez de faire entendre raison à un crocodile !
Je vous propose une méthode simple et personnalisée pour arrêter de fumer qui s'appelle :
« Je Respire la Liberté ».
Au programme : auriculothérapie, aromathérapie, alimentation, phytothérapie, exercices de respiration et automassages.